Malgré leur rendement limité, les marchés boursiers se sont bien comportés au premier trimestre de 2023, propulsés par le rebond du secteur des technologies, qui avait été malmené au cours de l’année 2022. Le premier trimestre a été marqué par la poursuite d’une inflation élevée, qui a nécessité de nouvelles hausses des taux d’intérêt de la part des banques centrales. Il semblerait que ces taux d’intérêt plus élevés commencent à avoir l’effet escompté, c’est-à-dire un assouplissement de l’inflation et un ralentissement de l’économie. Tout indique maintenant un ralentissement du rythme et de l’ampleur de toute hausse future des taux.
Le rythme record des hausses de taux a entraîné une dévaluation tout aussi rapide des actifs surévalués et a fait des ravages sur les marchés financiers. Cette situation a étouffé les ventes d’immeubles résidentiels et commerciaux et réduit les investissements de capital-investissement et de capital de risque. Elle a également contribué à la faillite de deux banques régionales aux États-Unis et à l’acquisition d’urgence de Crédit suisse par le groupe bancaire suisse UBS. Nous croyons que ces échecs sont isolés, qu’ils témoignent d’une gestion désastreuse et de mauvaises décisions de la part du conseil d’administration, et qu’ils n’entraîneront pas de contagion dans le secteur financier. L’accent que nous mettons sur les grandes banques bien capitalisées et gérées de façon responsable qui exercent leurs activités dans un cadre réglementaire rigoureux offre une protection considérable contre les baisses et, surtout, des occasions de croissance supérieure à long terme.
Le ralentissement économique actuel augmente la probabilité d’une récession. Il reste à voir si elle sera légère et superficielle ou si elle durera plus longtemps et sera plus grave. Cela dit, nos perspectives demeurent positives. Après nous avoir récemment entretenus avec des dirigeants de sociétés et après avoir assisté à leurs présentations, les équipes de direction des sociétés ont confirmé leurs prévisions en matière de produits et de bénéfices pour l’exercice et prévoient une amélioration des conditions et des résultats financiers pour 2024. Nous avons recours à une approche ciblée pour investir dans des sociétés de grande qualité caractérisées par de solides équipes de direction, des bilans robustes et des perspectives de croissance soutenue. Ces types de sociétés sont les mieux placées pour résister à la volatilité et mener les premières étapes d’une reprise.
Bien que la conjoncture économique nous incite à agir avec prudence, nous sommes optimistes. Au cours du premier trimestre, nous avons activement apporté des changements à votre portefeuille pour qu’il puisse résister à une période de récession et profiter de la reprise qui s’ensuivra. Nous demeurerons vigilants envers votre portefeuille au cours du prochain cycle économique.
Premier trimestre 2023
Malgré leur rendement limité, les marchés boursiers se sont bien comportés au premier trimestre de 2023, propulsés par le rebond du secteur des technologies, qui avait été malmené au cours de l’année 2022. Le premier trimestre a été marqué par la poursuite d’une inflation élevée, qui a nécessité de nouvelles hausses des taux d’intérêt de la part des banques centrales. Il semblerait que ces taux d’intérêt plus élevés commencent à avoir l’effet escompté, c’est-à-dire un assouplissement de l’inflation et un ralentissement de l’économie. Tout indique maintenant un ralentissement du rythme et de l’ampleur de toute hausse future des taux.
Le rythme record des hausses de taux a entraîné une dévaluation tout aussi rapide des actifs surévalués et a fait des ravages sur les marchés financiers. Cette situation a étouffé les ventes d’immeubles résidentiels et commerciaux et réduit les investissements de capital-investissement et de capital de risque. Elle a également contribué à la faillite de deux banques régionales aux États-Unis et à l’acquisition d’urgence de Crédit suisse par le groupe bancaire suisse UBS. Nous croyons que ces échecs sont isolés, qu’ils témoignent d’une gestion désastreuse et de mauvaises décisions de la part du conseil d’administration, et qu’ils n’entraîneront pas de contagion dans le secteur financier. L’accent que nous mettons sur les grandes banques bien capitalisées et gérées de façon responsable qui exercent leurs activités dans un cadre réglementaire rigoureux offre une protection considérable contre les baisses et, surtout, des occasions de croissance supérieure à long terme.
Le ralentissement économique actuel augmente la probabilité d’une récession. Il reste à voir si elle sera légère et superficielle ou si elle durera plus longtemps et sera plus grave. Cela dit, nos perspectives demeurent positives. Après nous avoir récemment entretenus avec des dirigeants de sociétés et après avoir assisté à leurs présentations, les équipes de direction des sociétés ont confirmé leurs prévisions en matière de produits et de bénéfices pour l’exercice et prévoient une amélioration des conditions et des résultats financiers pour 2024. Nous avons recours à une approche ciblée pour investir dans des sociétés de grande qualité caractérisées par de solides équipes de direction, des bilans robustes et des perspectives de croissance soutenue. Ces types de sociétés sont les mieux placées pour résister à la volatilité et mener les premières étapes d’une reprise.
Bien que la conjoncture économique nous incite à agir avec prudence, nous sommes optimistes. Au cours du premier trimestre, nous avons activement apporté des changements à votre portefeuille pour qu’il puisse résister à une période de récession et profiter de la reprise qui s’ensuivra. Nous demeurerons vigilants envers votre portefeuille au cours du prochain cycle économique.