Le redressement des marchés boursiers nord-américains, qui a débuté en mars 2009, soit deux ans auparavant, a continué de progresser tout au long du premier trimestre de 2011. Malgré l’agitation politique dans plusieurs pays nord-africains et la catastrophe naturelle au Japon, la tendance à la hausse de l’économie mondiale et des marchés financiers s’est poursuivie.
Au cours du premier trimestre de 2011, le rendement total de l’indice S&P/TSX au Canada a été de 5,6 %, dépassant l’indice S&P 500 aux États-Unis qui, quant à lui, a affiché une hausse de 3,5 % (en dollars canadiens). Depuis le creux des marchés boursiers le 9 mars 2009, le taux de rendement annualisé du marché canadien s’est établit à près de 31 %, surpassant ainsi de 16 % le rendement du marché américain (encore une fois en dollars canadiens). Même si ce rendement a prouvé être solide, les indices élargis devront atteindre de nouveau leur sommet connu au milieu de 2008.
Le marché boursier canadien, bien qu’il ait affiché de bons résultats, est mené par deux secteurs. Tout comme l’élan qui a permis au marché d’atteindre un sommet en 2008, le marché canadien est dominé par les secteurs financiers (28 %), de l’énergie (23 %) et des matières premières (23 %). En enlevant la pondération totale de pratiquement 80 % qui compte les banques et les sociétés du secteur des ressources, le pourcentage restant est mince! Voilà pourquoi lorsque nous procédons de façon appropriée à la diversification des portefeuilles, nous cherchons à investir dans des titres étrangers afin de renforcer notre exposition dans les secteurs industriel, des soins de santé, des biens de consommation et de la technologie. Étant donné que le dollar canadien se négocie avec une prime par rapport au dollar américain, nous croyons qu’il s’agit d’une situation idéale pour investir dans des sociétés de premier ordre dont l’action se négocie à rabais. Il s’agit d’un événement rare pour les investisseurs canadiens et nous feront de notre mieux pour en profiter.
Cette lettre représente la dernière de notre série de lettres mensuelles. Vous continuerez de recevoir votre relevé de droits de garde sur une base mensuelle, mais nos lettres ainsi que nos rapports d’évaluation de portefeuille seront envoyés à la fin de chaque trimestre.
Avril 2011
Le redressement des marchés boursiers nord-américains, qui a débuté en mars 2009, soit deux ans auparavant, a continué de progresser tout au long du premier trimestre de 2011. Malgré l’agitation politique dans plusieurs pays nord-africains et la catastrophe naturelle au Japon, la tendance à la hausse de l’économie mondiale et des marchés financiers s’est poursuivie.
Au cours du premier trimestre de 2011, le rendement total de l’indice S&P/TSX au Canada a été de 5,6 %, dépassant l’indice S&P 500 aux États-Unis qui, quant à lui, a affiché une hausse de 3,5 % (en dollars canadiens). Depuis le creux des marchés boursiers le 9 mars 2009, le taux de rendement annualisé du marché canadien s’est établit à près de 31 %, surpassant ainsi de 16 % le rendement du marché américain (encore une fois en dollars canadiens). Même si ce rendement a prouvé être solide, les indices élargis devront atteindre de nouveau leur sommet connu au milieu de 2008.
Le marché boursier canadien, bien qu’il ait affiché de bons résultats, est mené par deux secteurs. Tout comme l’élan qui a permis au marché d’atteindre un sommet en 2008, le marché canadien est dominé par les secteurs financiers (28 %), de l’énergie (23 %) et des matières premières (23 %). En enlevant la pondération totale de pratiquement 80 % qui compte les banques et les sociétés du secteur des ressources, le pourcentage restant est mince! Voilà pourquoi lorsque nous procédons de façon appropriée à la diversification des portefeuilles, nous cherchons à investir dans des titres étrangers afin de renforcer notre exposition dans les secteurs industriel, des soins de santé, des biens de consommation et de la technologie. Étant donné que le dollar canadien se négocie avec une prime par rapport au dollar américain, nous croyons qu’il s’agit d’une situation idéale pour investir dans des sociétés de premier ordre dont l’action se négocie à rabais. Il s’agit d’un événement rare pour les investisseurs canadiens et nous feront de notre mieux pour en profiter.
Cette lettre représente la dernière de notre série de lettres mensuelles. Vous continuerez de recevoir votre relevé de droits de garde sur une base mensuelle, mais nos lettres ainsi que nos rapports d’évaluation de portefeuille seront envoyés à la fin de chaque trimestre.