Par les temps qui courent, les manchettes abondent d’articles portant sur les difficultés fiscales des gouvernements. L’Union européenne a dû aider la Grèce et l’Irlande et peut-être d’autres pays suivront. La Grande-Bretagne a réduit ses dépenses gouvernementales de manière agressive, tandis que les États-Unis sont aux prises avec leur propre déficit qui continue de gonfler. Même après avoir traversé sa dernière récession avec un bilan relativement robuste, le Canada doit s’attaquer à la réduction progressive de son déficit.
En revanche, le monde des affaires est en bien meilleure posture. Le niveau d’endettement des sociétés ouvertes est historiquement faible et de nombreuses sociétés continuent de générer des flux de trésorerie solides dans un contexte économique relativement bénin. Par conséquent, le bilan des sociétés non financières en Amérique du Nord compte plus de 1 billion de dollars en encaisse et en placements à court terme.
Le point central faisant partie de notre philosophie de placement est le concept appelé « À l’affût de l’encaisse ». Le fait de procéder de cette façon nous a permis de noter que plus de 300 sociétés nord-américaines cotées en Bourse ont augmenté leur dividende au troisième trimestre, ce qui représente une hausse de 50 % par comparaison avec l’année dernière. En outre, les sociétés américaines et canadiennes ont racheté près de 150 milliards de dollars de leurs actions au cours de la première moitié de 2010, soit une augmentation annuelle d’environ 150 %. Les augmentations de dividende et les rachats d’actions sont essentiels pour améliorer la valeur actionnariale à long terme.
L’écart actuel entre la santé financière des gouvernements et celle du monde des affaires a rarement été aussi marqué. Nous sommes encouragés de savoir que les dirigeants politiques des pays développés règlent ces problèmes de façon responsable. Bien que ces programmes de réduction de déficit puissent avoir une incidence négative à court terme sur la croissance économique, nous croyons qu’ils contribueront à ce que l’économie mondiale reparte sur des bases beaucoup plus saines.
Puisque l’année occupée de 2010 tire à sa fin, nous désirons souhaiter à vous et à votre famille une saison des fêtes heureuse et sécuritaire.
Décembre 2010
Par les temps qui courent, les manchettes abondent d’articles portant sur les difficultés fiscales des gouvernements. L’Union européenne a dû aider la Grèce et l’Irlande et peut-être d’autres pays suivront. La Grande-Bretagne a réduit ses dépenses gouvernementales de manière agressive, tandis que les États-Unis sont aux prises avec leur propre déficit qui continue de gonfler. Même après avoir traversé sa dernière récession avec un bilan relativement robuste, le Canada doit s’attaquer à la réduction progressive de son déficit.
En revanche, le monde des affaires est en bien meilleure posture. Le niveau d’endettement des sociétés ouvertes est historiquement faible et de nombreuses sociétés continuent de générer des flux de trésorerie solides dans un contexte économique relativement bénin. Par conséquent, le bilan des sociétés non financières en Amérique du Nord compte plus de 1 billion de dollars en encaisse et en placements à court terme.
Le point central faisant partie de notre philosophie de placement est le concept appelé « À l’affût de l’encaisse ». Le fait de procéder de cette façon nous a permis de noter que plus de 300 sociétés nord-américaines cotées en Bourse ont augmenté leur dividende au troisième trimestre, ce qui représente une hausse de 50 % par comparaison avec l’année dernière. En outre, les sociétés américaines et canadiennes ont racheté près de 150 milliards de dollars de leurs actions au cours de la première moitié de 2010, soit une augmentation annuelle d’environ 150 %. Les augmentations de dividende et les rachats d’actions sont essentiels pour améliorer la valeur actionnariale à long terme.
L’écart actuel entre la santé financière des gouvernements et celle du monde des affaires a rarement été aussi marqué. Nous sommes encouragés de savoir que les dirigeants politiques des pays développés règlent ces problèmes de façon responsable. Bien que ces programmes de réduction de déficit puissent avoir une incidence négative à court terme sur la croissance économique, nous croyons qu’ils contribueront à ce que l’économie mondiale reparte sur des bases beaucoup plus saines.
Puisque l’année occupée de 2010 tire à sa fin, nous désirons souhaiter à vous et à votre famille une saison des fêtes heureuse et sécuritaire.