Malgré l’augmentation des tensions en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, les actions des marchés nord-américains ont continué à bien se comporter au cours des premiers mois de 2011 et se sont redressées pour se situer au même niveau qu’ils se trouvaient à la fin de 2010. Les économies dans les pays développés continuent à croître de façon stable, contribuant au rendement amélioré de plusieurs grandes sociétés cotées en bourse. Les plus grands bénéficiaires du début du cycle économique amélioré ont été les actions du secteur des matières premières, plus particulièrement les métaux de base et le pétrole.
Au fur et à mesure que les indicateurs de base des sociétés s’améliorent, nous constatons plusieurs augmentations du dividende parmi les sociétés dans lesquelles nous investissons. Les dividendes représentent un élément important du rendement total généré pour les investisseurs à long terme et ne devraient pas être pris à la légère. En plus de leur simple rendement en termes de flux de trésorerie, l’augmentation du taux de distribution du dividende signale également la confiance accrue de la part des membres de la direction et du conseil d’administration d’une société quant aux perspectives de ses indicateurs de base.
Jusqu’à maintenant cette année, la Compagnie Pétrolière Impériale Ltée, la Compagnie des Chemins de Fer Nationaux du Canada, Shopper’s Drug Mart et TransCanada Pipelines ont toutes annoncé des augmentations de leur dividende, tandis que Cisco et MacDonald Dettwiler ont pour la première fois annoncé le versement d’un dividende. Visiblement absentes de cette liste sont les banques canadiennes ainsi que les firmes de services financiers, qui ont la bonne réputation de verser des dividendes en plus de constamment les augmenter. Celles-ci n’ont pas bougé pour l’instant, car elles attendent de connaître le niveau requis de capitaux propres qu’elles devront retenir selon les normes internationales nouvellement créées. Contrairement à ses pairs américains et internationaux, aucune banque canadienne n’a arrêté de verser des dividendes durant la crise financière de 2008-2009. Bien qu’au cours des deux dernières années, les banques canadiennes aient maintenu de façon stable le niveau de distribution de leurs dividendes, nous prévoyons que ce niveau sera augmenté dans un avenir prévisible.
Mars 2011
Malgré l’augmentation des tensions en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, les actions des marchés nord-américains ont continué à bien se comporter au cours des premiers mois de 2011 et se sont redressées pour se situer au même niveau qu’ils se trouvaient à la fin de 2010. Les économies dans les pays développés continuent à croître de façon stable, contribuant au rendement amélioré de plusieurs grandes sociétés cotées en bourse. Les plus grands bénéficiaires du début du cycle économique amélioré ont été les actions du secteur des matières premières, plus particulièrement les métaux de base et le pétrole.
Au fur et à mesure que les indicateurs de base des sociétés s’améliorent, nous constatons plusieurs augmentations du dividende parmi les sociétés dans lesquelles nous investissons. Les dividendes représentent un élément important du rendement total généré pour les investisseurs à long terme et ne devraient pas être pris à la légère. En plus de leur simple rendement en termes de flux de trésorerie, l’augmentation du taux de distribution du dividende signale également la confiance accrue de la part des membres de la direction et du conseil d’administration d’une société quant aux perspectives de ses indicateurs de base.
Jusqu’à maintenant cette année, la Compagnie Pétrolière Impériale Ltée, la Compagnie des Chemins de Fer Nationaux du Canada, Shopper’s Drug Mart et TransCanada Pipelines ont toutes annoncé des augmentations de leur dividende, tandis que Cisco et MacDonald Dettwiler ont pour la première fois annoncé le versement d’un dividende. Visiblement absentes de cette liste sont les banques canadiennes ainsi que les firmes de services financiers, qui ont la bonne réputation de verser des dividendes en plus de constamment les augmenter. Celles-ci n’ont pas bougé pour l’instant, car elles attendent de connaître le niveau requis de capitaux propres qu’elles devront retenir selon les normes internationales nouvellement créées. Contrairement à ses pairs américains et internationaux, aucune banque canadienne n’a arrêté de verser des dividendes durant la crise financière de 2008-2009. Bien qu’au cours des deux dernières années, les banques canadiennes aient maintenu de façon stable le niveau de distribution de leurs dividendes, nous prévoyons que ce niveau sera augmenté dans un avenir prévisible.