Alors que la saison estivale débute, nous devons encore une fois faire face au retour de la volatilité sur les marchés boursiers mondiaux. Ces derniers temps, les préoccupations entourant les marchés ont été de nature macroéconomique et cette fois-ci ne fait pas exception.
Le renforcement des variables fondamentales des sociétés, notamment l’accroissement des bénéfices et l’augmentation des flux de trésorerie sont tous des signes démontrant que la reprise économique aux États-Unis est bien amorcée. Ces facteurs ne sont pas passés inaperçus au sein des marchés boursiers américains qui ont atteint de nouveaux sommets plus tôt cette année. En gardant à l’esprit le renforcement de ces variables fondamentales, la Banque fédérale de réserve a indiqué qu’elle entrevoit le moment où elle commencera à réduire la taille de son programme d’assouplissement quantitatif. Bien que ce ne soit pas le cas pour l’instant et ce, jusqu’à ce que le taux de chômage aux États-Unis se situe sous la barre de 6,5 %, il est prévu que cette mesure soit prise dans un avenir relativement rapproché. Ceci signifie que les taux d’intérêt qui au cours des dernière années ont atteint leur niveau plancher, vont éventuellement augmenter. Il s’agit d’une bonne nouvelle, car ceci veut dire que l’économie se raffermie et que la capacité économique est utilisée. Néanmoins, les marchés boursiers et obligataires ont semblé être surpris par cette annonce et à court terme ont réagi de façon exagérée, voire négative face celle-ci.
Selon nous, cette situation ne constitue pas une occasion d’acheter des obligations, mais plutôt d’acheter des actions.
Ailleurs, les facteurs macroéconomiques sont moins positifs. En Europe, la situation demeure sous tension, bien que certaines régions d’Europe se soient récemment améliorées pour passer d’un niveau de récession à un niveau neutre. Cela prendra du temps avant que l’Europe commence à contribuer d’une façon importante à la croissance économique mondiale. Les marchés boursiers dans les régions en développement du monde, telles que l’Amérique latine, ont récemment chuté, car on s’attend à un ralentissement du rythme de la croissance.
L’une des plus grandes préoccupations entourant le marché est l’état actuel et futur de l’économie chinoise. Comme il avait été prévu, la transition du gouvernement en Chine a eu lieu en novembre 2012. Le nouveau gouvernement en place a maintenu que le taux de croissance économique projeté du pays continuerait à se situer entre 7,5 et 8,5 % par année dans un avenir prévisible. Toutefois, le nouveau gouvernement veut faire adopter d’importantes réformes économiques structurelles. Plus particulièrement, ces réformes incluraient la nouvelle réglementation bancaire qui permettrait de contrôler les activités grandissantes du système bancaire parallèle en Chine et à procéder à un plus grand nombre de transferts des activités commerciales pour faire en sorte que les sociétés d’État deviennent des sociétés fermées. Bien que ces réformes puissent en quelque sorte entraver à la croissance durant la période transitoire à court terme, celles-ci pourraient mettre l’économie chinoise sur la voie d’une croissance durable à plus long terme.
Dans nos activités, nous n’investissons pas dans les marchés, dans l’économie ou dans les gouvernements, mais plutôt dans les sociétés ouvertes. Bien qu’il nous soit impossible d’ignorer les facteurs macroéconomiques qui font les manchettes, notre objectif principal consiste à détenir des titres de sociétés qui continuent à générer d’importants bénéfices et qui font croître leurs flux de trésorerie malgré le contexte économique et politique actuel. Au cours des deux dernières années, nous avons augmenté notre position envers les titres de sociétés américaines (et internationales), car nous estimons que la nature multinationale des activités de ces sociétés offre à nos clients les meilleures occasions de croissance.
Deuxième trimestre 2013
Alors que la saison estivale débute, nous devons encore une fois faire face au retour de la volatilité sur les marchés boursiers mondiaux. Ces derniers temps, les préoccupations entourant les marchés ont été de nature macroéconomique et cette fois-ci ne fait pas exception.
Le renforcement des variables fondamentales des sociétés, notamment l’accroissement des bénéfices et l’augmentation des flux de trésorerie sont tous des signes démontrant que la reprise économique aux États-Unis est bien amorcée. Ces facteurs ne sont pas passés inaperçus au sein des marchés boursiers américains qui ont atteint de nouveaux sommets plus tôt cette année. En gardant à l’esprit le renforcement de ces variables fondamentales, la Banque fédérale de réserve a indiqué qu’elle entrevoit le moment où elle commencera à réduire la taille de son programme d’assouplissement quantitatif. Bien que ce ne soit pas le cas pour l’instant et ce, jusqu’à ce que le taux de chômage aux États-Unis se situe sous la barre de 6,5 %, il est prévu que cette mesure soit prise dans un avenir relativement rapproché. Ceci signifie que les taux d’intérêt qui au cours des dernière années ont atteint leur niveau plancher, vont éventuellement augmenter. Il s’agit d’une bonne nouvelle, car ceci veut dire que l’économie se raffermie et que la capacité économique est utilisée. Néanmoins, les marchés boursiers et obligataires ont semblé être surpris par cette annonce et à court terme ont réagi de façon exagérée, voire négative face celle-ci.
Selon nous, cette situation ne constitue pas une occasion d’acheter des obligations, mais plutôt d’acheter des actions.
Ailleurs, les facteurs macroéconomiques sont moins positifs. En Europe, la situation demeure sous tension, bien que certaines régions d’Europe se soient récemment améliorées pour passer d’un niveau de récession à un niveau neutre. Cela prendra du temps avant que l’Europe commence à contribuer d’une façon importante à la croissance économique mondiale. Les marchés boursiers dans les régions en développement du monde, telles que l’Amérique latine, ont récemment chuté, car on s’attend à un ralentissement du rythme de la croissance.
L’une des plus grandes préoccupations entourant le marché est l’état actuel et futur de l’économie chinoise. Comme il avait été prévu, la transition du gouvernement en Chine a eu lieu en novembre 2012. Le nouveau gouvernement en place a maintenu que le taux de croissance économique projeté du pays continuerait à se situer entre 7,5 et 8,5 % par année dans un avenir prévisible. Toutefois, le nouveau gouvernement veut faire adopter d’importantes réformes économiques structurelles. Plus particulièrement, ces réformes incluraient la nouvelle réglementation bancaire qui permettrait de contrôler les activités grandissantes du système bancaire parallèle en Chine et à procéder à un plus grand nombre de transferts des activités commerciales pour faire en sorte que les sociétés d’État deviennent des sociétés fermées. Bien que ces réformes puissent en quelque sorte entraver à la croissance durant la période transitoire à court terme, celles-ci pourraient mettre l’économie chinoise sur la voie d’une croissance durable à plus long terme.
Dans nos activités, nous n’investissons pas dans les marchés, dans l’économie ou dans les gouvernements, mais plutôt dans les sociétés ouvertes. Bien qu’il nous soit impossible d’ignorer les facteurs macroéconomiques qui font les manchettes, notre objectif principal consiste à détenir des titres de sociétés qui continuent à générer d’importants bénéfices et qui font croître leurs flux de trésorerie malgré le contexte économique et politique actuel. Au cours des deux dernières années, nous avons augmenté notre position envers les titres de sociétés américaines (et internationales), car nous estimons que la nature multinationale des activités de ces sociétés offre à nos clients les meilleures occasions de croissance.