Pour les investisseurs, les mois d’été auront été marqués par une volatilité accrue des marchés boursiers mondiaux en raison des facteurs macro-environnementaux. La crise financière atténuée en Grèce a été suivie par le ralentissement préoccupant de la croissance en Chine et la détérioration des prix des produits de base pour les pays exportateurs, comme le Canada.
L’accroissement de la volatilité des marchés a donné lieu à d’autres rendements négatifs. Depuis le début de l’année jusqu’à ce jour, le marché américain a reculé de 6,4%, tandis que le marché boursier canadien a régressé de 7,9%. Les marchés émergents ont affiché des rendements encore pires. Il va sans dire, l’année 2015 n’aura pas été une bonne année pour les investisseurs en actions.
Le ralentissement de la croissance économique des marchés asiatiques en général et plus particulièrement celle de la Chine a contribué à la débâcle des prix des produits de ressources naturelles, notamment les métaux de base et le charbon. Les prix du pétrole ont chuté de façon spectaculaire, principalement en raison de l’offre excédentaire et du fait que les producteurs de l’OPEP n’agissent plus en tant que cartel. En fait, l’OPEP n’a pas fonctionné comme un cartel efficace depuis des années. En ce moment, le monde profite de l’augmentation de la production pétrolière entraînée en grande partie par l’innovation technologique. Ces approvisionnements augmenteront davantage lorsque les sanctions contre les exportations iraniennes seront levées en décembre.
Tout au long de cette année marquée par la volatilité et la négativité, nous avons été constamment confiants envers une reprise progressive de l’économie américaine. Bien que la croissance n’ait pas été considérablement robuste, elle a tout de même été suffisante pour faire nettement diminuer le taux de chômage. Cette croissance n’a cependant pas engendré de pressions inflationnistes, ce qui a permis à la Réserve fédérale de maintenir des taux d’intérêt historiquement bas. En outre, les économies européennes ont commencé à se redresser, nous donnant ainsi d’autres raisons d’être optimistes. Enfin, alors que la croissance en Chine ralentit, il est prévu qu’elle devrait se maintenir à un taux annuel de 4 à 5 %. Qui plus est, le niveau d’emploi en Chine demeure solide, car la Chine est passée d’une économie axée sur la fabrication à forte intensité de capital à une économie centrée sur des services à forte intensité de main-d’œuvre, comme les services de soins de santé, de détail et de technologie.
L’économie en voie de reprise aux États-Unis et en Europe ainsi que la poursuite de la croissance en Chine viendront appuyer la hausse des revenus, des bénéfices et des flux de trésorerie des sociétés ouvertes les mieux gérées. Toutefois, le défi pour les sociétés multinationales américaines vient du fait qu’un dollar plus fort fait diminuer le revenu et les bénéfices générés par leurs activités internationales. Bien que nous ayons investi dans plusieurs de ces sociétés multinationales, nous reconnaissons que ceci représente un « vent contraire » pour le moment.
La bonne nouvelle est qu’aucune des plus importantes économies dans le monde n’est en récession ou risque d’en connaître une. Nous ne pouvons prévoir que le niveau actuel de volatilité des marchés boursiers s’atténuera pour ce trimestre ou à un moment donné en 2016. Nous pouvons toutefois nous assurer que votre portefeuille contient des titres provenant de sociétés les mieux gérées qui, avec le temps, seront récompensées par les marchés.
Troisième trimestre 2015
Pour les investisseurs, les mois d’été auront été marqués par une volatilité accrue des marchés boursiers mondiaux en raison des facteurs macro-environnementaux. La crise financière atténuée en Grèce a été suivie par le ralentissement préoccupant de la croissance en Chine et la détérioration des prix des produits de base pour les pays exportateurs, comme le Canada.
L’accroissement de la volatilité des marchés a donné lieu à d’autres rendements négatifs. Depuis le début de l’année jusqu’à ce jour, le marché américain a reculé de 6,4%, tandis que le marché boursier canadien a régressé de 7,9%. Les marchés émergents ont affiché des rendements encore pires. Il va sans dire, l’année 2015 n’aura pas été une bonne année pour les investisseurs en actions.
Le ralentissement de la croissance économique des marchés asiatiques en général et plus particulièrement celle de la Chine a contribué à la débâcle des prix des produits de ressources naturelles, notamment les métaux de base et le charbon. Les prix du pétrole ont chuté de façon spectaculaire, principalement en raison de l’offre excédentaire et du fait que les producteurs de l’OPEP n’agissent plus en tant que cartel. En fait, l’OPEP n’a pas fonctionné comme un cartel efficace depuis des années. En ce moment, le monde profite de l’augmentation de la production pétrolière entraînée en grande partie par l’innovation technologique. Ces approvisionnements augmenteront davantage lorsque les sanctions contre les exportations iraniennes seront levées en décembre.
Tout au long de cette année marquée par la volatilité et la négativité, nous avons été constamment confiants envers une reprise progressive de l’économie américaine. Bien que la croissance n’ait pas été considérablement robuste, elle a tout de même été suffisante pour faire nettement diminuer le taux de chômage. Cette croissance n’a cependant pas engendré de pressions inflationnistes, ce qui a permis à la Réserve fédérale de maintenir des taux d’intérêt historiquement bas. En outre, les économies européennes ont commencé à se redresser, nous donnant ainsi d’autres raisons d’être optimistes. Enfin, alors que la croissance en Chine ralentit, il est prévu qu’elle devrait se maintenir à un taux annuel de 4 à 5 %. Qui plus est, le niveau d’emploi en Chine demeure solide, car la Chine est passée d’une économie axée sur la fabrication à forte intensité de capital à une économie centrée sur des services à forte intensité de main-d’œuvre, comme les services de soins de santé, de détail et de technologie.
L’économie en voie de reprise aux États-Unis et en Europe ainsi que la poursuite de la croissance en Chine viendront appuyer la hausse des revenus, des bénéfices et des flux de trésorerie des sociétés ouvertes les mieux gérées. Toutefois, le défi pour les sociétés multinationales américaines vient du fait qu’un dollar plus fort fait diminuer le revenu et les bénéfices générés par leurs activités internationales. Bien que nous ayons investi dans plusieurs de ces sociétés multinationales, nous reconnaissons que ceci représente un « vent contraire » pour le moment.
La bonne nouvelle est qu’aucune des plus importantes économies dans le monde n’est en récession ou risque d’en connaître une. Nous ne pouvons prévoir que le niveau actuel de volatilité des marchés boursiers s’atténuera pour ce trimestre ou à un moment donné en 2016. Nous pouvons toutefois nous assurer que votre portefeuille contient des titres provenant de sociétés les mieux gérées qui, avec le temps, seront récompensées par les marchés.