Au plus récent trimestre, la croissance synchronisée de l’économie mondiale s’est poursuivie. Cette expansion est appuyée par de plus en plus d’indices qui montrent que l’économie auparavant chancelante des pays émergents, tels que le Brésil et la Russie, semble maintenant s’être redressée. En Inde, le nouveau dirigeant qui tente d’entreprendre des réformes tant attendues voit son économie croître à un rythme plus rapide que celle de la Chine. Alors qu’en Chine, la courbe de croissance s’est en quelque sorte aplatie, ce pays continue néanmoins de connaître une croissance impressionnante de son PIB. Au Canada, l’économie s’est libérée de l’incidence négative de l’important ralentissement du secteur énergétique et a renoué avec la croissance.
Bien que tout ceci soit encourageant, les États-Unis demeurent l’élément le plus important et, bien sûr, le leader de l’économie mondiale. L’économie américaine se retrouve maintenant au milieu de sa troisième plus longue expansion économique depuis 1850. Cette croissance, qui a débuté en 2009, a progressé à un rythme lent, mais remarquablement stable. En outre, l’économie américaine a prouvé que sa taille et sa résilience peuvent résister à son actuel leadership exécutif de la Maison-Blanche peu impressionnant.
Alors que la croissance mondiale se redresse, ceci donne aux principales banques centrales mondiales une occasion de rétablir les taux d’intérêt à un niveau plus « normal ». Plusieurs banques centrales, menées par la Réserve fédérale américaine, commencent à relever leurs taux d’intérêts, mais avec prudence et petit à petit. Puisque l’inflation est pratiquement inexistante dans les pays développés, les taux n’ont pas besoin d’être redressés de façon importante. Les taux d’intérêt en hausse sont un signe indéniable que l’économie mondiale est de plus en plus prospère et reflète le véritable retour à la normale après les crises financières de 2008-2009.
Une partie intégrante du raffermissement de l’économie américaine est sa liste importante de sociétés chefs de file cotées en Bourse. Peu importe le secteur, les leaders des secteurs, en termes de taille, de présence mondiale et d’innovation sont invariablement des sociétés américaines. Il y a eu de plus en plus de préoccupations voulant que ces sociétés cotées en Bourse deviennent des espèces en voie de disparition. Le coût élevé en matière de divulgation et la surveillance rigoureuse des marchés ouverts a incité plusieurs sociétés ouvertes à devenir des sociétés fermées, soit qu’elles ont été achetées par leurs gestionnaires ou qu’elles ont été acquises par un groupe croissant de sociétés d’investissement privé bien capitalisées. Bien que cela a été le cas pour plusieurs sociétés de petite taille et de taille moyenne, cette tendance n’a pas touché les sociétés de grande taille sur lesquelles nous nous concentrons.
Dans cette optique, nous avons continué à faire des recherches sur plusieurs sociétés américaines dans le but d’en ajouter d’autres aux portefeuilles de nos clients. Au cours des quatre derniers mois, nous avons rencontré les dirigeants et avons assisté à des présentations d’investisseurs institutionnels de plus de 60 sociétés américaines, y compris la plupart des sociétés dans lesquelles nous détenons actuellement des positions.
Ceci ne signifie pas que nous ignorons le Canada. Nous détenons des positions dans de nombreuses sociétés canadiennes depuis longtemps qui nous ont bien servi. Lorsqu’il s’agit des secteurs énergétique, bancaire et des services publics, nos sociétés canadiennes sont les meilleures. Tout comme nous le faisons pour les sociétés du sud de la frontière, nous suivons de près les occasions qui se présentent dans notre propre marché.
Deuxième trimestre 2017
Au plus récent trimestre, la croissance synchronisée de l’économie mondiale s’est poursuivie. Cette expansion est appuyée par de plus en plus d’indices qui montrent que l’économie auparavant chancelante des pays émergents, tels que le Brésil et la Russie, semble maintenant s’être redressée. En Inde, le nouveau dirigeant qui tente d’entreprendre des réformes tant attendues voit son économie croître à un rythme plus rapide que celle de la Chine. Alors qu’en Chine, la courbe de croissance s’est en quelque sorte aplatie, ce pays continue néanmoins de connaître une croissance impressionnante de son PIB. Au Canada, l’économie s’est libérée de l’incidence négative de l’important ralentissement du secteur énergétique et a renoué avec la croissance.
Bien que tout ceci soit encourageant, les États-Unis demeurent l’élément le plus important et, bien sûr, le leader de l’économie mondiale. L’économie américaine se retrouve maintenant au milieu de sa troisième plus longue expansion économique depuis 1850. Cette croissance, qui a débuté en 2009, a progressé à un rythme lent, mais remarquablement stable. En outre, l’économie américaine a prouvé que sa taille et sa résilience peuvent résister à son actuel leadership exécutif de la Maison-Blanche peu impressionnant.
Alors que la croissance mondiale se redresse, ceci donne aux principales banques centrales mondiales une occasion de rétablir les taux d’intérêt à un niveau plus « normal ». Plusieurs banques centrales, menées par la Réserve fédérale américaine, commencent à relever leurs taux d’intérêts, mais avec prudence et petit à petit. Puisque l’inflation est pratiquement inexistante dans les pays développés, les taux n’ont pas besoin d’être redressés de façon importante. Les taux d’intérêt en hausse sont un signe indéniable que l’économie mondiale est de plus en plus prospère et reflète le véritable retour à la normale après les crises financières de 2008-2009.
Une partie intégrante du raffermissement de l’économie américaine est sa liste importante de sociétés chefs de file cotées en Bourse. Peu importe le secteur, les leaders des secteurs, en termes de taille, de présence mondiale et d’innovation sont invariablement des sociétés américaines. Il y a eu de plus en plus de préoccupations voulant que ces sociétés cotées en Bourse deviennent des espèces en voie de disparition. Le coût élevé en matière de divulgation et la surveillance rigoureuse des marchés ouverts a incité plusieurs sociétés ouvertes à devenir des sociétés fermées, soit qu’elles ont été achetées par leurs gestionnaires ou qu’elles ont été acquises par un groupe croissant de sociétés d’investissement privé bien capitalisées. Bien que cela a été le cas pour plusieurs sociétés de petite taille et de taille moyenne, cette tendance n’a pas touché les sociétés de grande taille sur lesquelles nous nous concentrons.
Dans cette optique, nous avons continué à faire des recherches sur plusieurs sociétés américaines dans le but d’en ajouter d’autres aux portefeuilles de nos clients. Au cours des quatre derniers mois, nous avons rencontré les dirigeants et avons assisté à des présentations d’investisseurs institutionnels de plus de 60 sociétés américaines, y compris la plupart des sociétés dans lesquelles nous détenons actuellement des positions.
Ceci ne signifie pas que nous ignorons le Canada. Nous détenons des positions dans de nombreuses sociétés canadiennes depuis longtemps qui nous ont bien servi. Lorsqu’il s’agit des secteurs énergétique, bancaire et des services publics, nos sociétés canadiennes sont les meilleures. Tout comme nous le faisons pour les sociétés du sud de la frontière, nous suivons de près les occasions qui se présentent dans notre propre marché.